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Xénotransplantation

Auteurs : MOREL P, BÜHLER L, DENG S, MENTHA G, ROHNER A1
Affiliations : 1Hôp. cantonal univ., dép. chirurgie, unité transplantation, 1211 Genève, Switzerland
Date 1993, Vol 51, Num 1985, pp 1744-1749Revue : Médecine et hygiène
Résumé

Le manque constant d'organes auquel nous sommes confrontés en transplantation, ainsi que l'augmentation du nombre de receveurs potentiels, nous incitent à envisager la xénotransplantation comme une solution à cette impasse. C'est au début des années 1960 que les premières tentatives réussies ont été rapportées chez l'homme (xénogreffes cardiaque et hépatique). Les succès sont limités dans le temps car les phénomènes de rejet sont encore mal compris et ne peuvent être jugulés avec les thérapeutiques immunosuppressives actuellement à disposition. Le rejet humoral aigu est le premier obstacle qu'il faudra franchir; il est essentiellement lié à la présence d'anticorps circulants préformés qui vont se fixer sur l'endothélium vasculaire du greffon en engendrant des lésions endothéliales qui aboutissent à une thrombose intra-vasculaire.

Mot-clés auteurs
Article synthèse; Homme; Hétérotransplantation; Immunité; Physiopathologie; Rejet; Transplantation;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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Citer cet article
MOREL P, BÜHLER L, DENG S, MENTHA G, ROHNER A. Xénotransplantation. Med Hyg (Geneve). 1993;51(1985):1744-1749.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 21/08/2017.


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