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Quantification des dyschromies cutanées à l'aide des composantes trichromatiques

Auteurs : BOCQUET J1, LEVY J2, THOMAS P3
Affiliations : 1Ecole univ. ing. Lille, lab. instrumentation métrologie UV, 59655 Villeneuve d'Ascq, France2Clin. Croix Rouge, cent. traitement laser, 13005 Marseille, France3CHUR Lille, serv. dermatologie B, 59037 Lille, France
Date 1994, Vol 13, Num 5, pp 333-339Revue : Les nouvelles dermatologiques
Résumé

Quel que soit le système colorimétrique choisi pour quantifier une dyschromie cutanée (système Lab, système Yxy...), les coordonnées se calculent toujours à partir de trois paramètres de base appelés composantes trichromatiques: X, Y, Z. Pourquoi ne pas travailler directement avec ces valeurs? A l'instar de ce qui se pratique en spectroréflectométrie, nous proposons de représenter ces composantes trichromatiques à 600, 555 et 455 nm, longueurs d'ondes dominantes des trois couleurs fondamentales: rouge, vert et bleu. En dermatologie, ce sont les écarts de couleurs qui ont un intérêt. Il nous a donc paru judicieux de représenter non pas X, Y et Z mais les rapports des composantes trichromatiques du phénomène observé à leurs homologues de la peau saine.

Mot-clés auteurs
Colorimétrie; Diagnostic; Homme; Mesure; Méthode graphique; Peau; Représentation graphique; Technique; Trouble pigmentation;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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BOCQUET J L, LEVY J L, THOMAS P. Quantification des dyschromies cutanées à l'aide des composantes trichromatiques. Les nouvelles dermatologiques. 1994;13(5):333-339.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 11/08/2017.


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