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Qu'aurait-on pu faire si on avait su?

Auteurs : FAVA-VIZZIELLO G, BRICCA P, CASSIBBA R, DE ROCCO G, ZINGARELLO C1
Affiliations : 1Univ. Padoue, Italy
Date 1994, Vol 42, Num 3, pp 135-143Revue : Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence
Résumé

D'après l'étude longitudinale d'un échantillon de 114 enfants à haut risque neurologique hospitalisés à la naissance en Unité de Soins Intensifs au Département de pédiatrie de Padoue, suivis et évalués après la sortie de l'hôpital, aux 3e, 6e, 9e, 12e, 24e, 36e, 48e, 60e, 72e mois d'âge corrigé, les auteurs s'interrogent sur quelles séquelles psychiques on aurait pu prévoir et à partir de quel âge, et sur l'opportunité d'une aide psychologique à l'enfant et/ou aux parents, et à partir de quel moment. Ayant etudié le type d'interaction mère-enfant et familiale et la structure de la mère en plus que le développement psycho-affectif des enfants, on arrive à la conclusion que: 1) à 72 mois les grands prématurés (16) présentent un syndrome de Peter Pan et ils doivent rester petits et dépendants pour produire des performances presque mythiques qui puissent renforcer l'auto-estime des parents; tous ces enfants sont à cet âge en évolution positive.

Mot-clés auteurs
Age préscolaire; Enfant; Etude longitudinale; Evolution; Facteur risque; Poids naissance faible; Prédiction; Prématuré; Trouble psychiatrique; Unité soin intensif;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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FAVA-VIZZIELLO G, BRICCA P, CASSIBBA R, DE ROCCO G, ZINGARELLO C. Qu'aurait-on pu faire si on avait su?. Neuropsychiatr Enfance Adolesc. 1994;42(3):135-143.
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Dernière date de mise à jour : 23/08/2017.


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