Zum aktuellen Stand lamellärer Schneidetechniken
Auteurs : KOHLHAAS M, LERCHE R, DRAEGER J1En un bref aperçu, les différents instruments et techniques de kératoplastie lamellaire sont présentés ici (technique manuelle, techniques de Hallermann, Castroviejo, Barraquer, Draeger). La coupe manuelle ne permet pas de contrôler l'épaisseur de la lamelle et les cicatrices de surface occasionnées ont des conséquences optiques imprévisibles. La surface de coupe que permet d'obtenir la technique de Hallermann est bien meilleure que dans le cas de la technique manuelle. Elle ne peut toutefois être pratiquée que sur l'oeil donneur. Dans la pratique, le microkératotome de Castroviejo s'est révélé imprécis, tant sur l'oeil donneur que receveur. Il est par ailleurs apparu trop grand. Le microkératotome de Barraquer fonctionne selon le principe d'une lame oscillante que l'on glisse manuellement - les versions plus modernes sont automatisées - sur la cornée aplanie. L'inconvénient des lames oscillantes est le changement incessant de la direction de coupe qui peut se répercuter négativement sur les tissus. En ayant recours à une lame plate tournant très rapidement dans un sens seulement, la coupe peut être pratiquée sans que les vibrations ne se transmettent aux tissus. Aucune irrégularité dans le fond de la plaie alors, contrairement à toutes les coupes discontinues, quel qu'en soit le type.