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Je bouge, donc je pense

Auteurs : GINOUX O, DIAMANTE C, DELATTRE T1
Affiliations : 1Hôp. Sainte-Anne, 8e sect. psychiatrie infanto-juvénile, Paris, France
Date 1995, Num 25, pp 163-176Revue : Adolescence
Résumé

Nous rapportons des éléments de la cure psychodramatique d'un adolescent frappé d'inhibition, à la fois du mouvement et de la pensée. Chez ce patient, le mouvement nous a semblé être l'objet d'une utilisation défensive, voire paradoxale. Ce travail nous a confrontés à une sorte d'équivalence entre bouger et penser, formulée par le patient, et aux multiples déplacements et retournements de cette proposition. Il en ressort un éclairage particulier sur quelques-unes des significations possibles du mouvement dans le fonctionnement psychique. L'utilisation du mouvement, inhérente au principe du psychodrame, semble comporter dans ce cas un intérêt priviligié.

Mot-clés auteurs
Adolescent; Efficacité traitement; Etat dépressif; Etude cas; Expression corporelle; Inhibition; Mouvement corporel; Mécanisme défense; Psychodrame; Psychothérapie analytique; Psychothérapie corporelle; Psychothérapie individuelle; Trouble humeur;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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GINOUX O, DIAMANTE C, DELATTRE T. Je bouge, donc je pense. Adolescence. 1995;(25):163-176.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 11/08/2017.


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