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Fin(s) de traitement et «guérison»

Auteurs : OPPENHEIM D1, BRUNO Y2, GRUJARD D3, LEMERLE J1
Affiliations : 1Inst. Gustave-Roussy, dép. pédiatrie, 94805 Villejuif, France2Hôp. Purpan, serv. médecine infantile, 31059 Toulouse, France3CHU, Caen, France
Date 1995 Mars, Vol 2, Num 3, pp 267-272Revue : Archives de pédiatrieType de publication : article de périodique;
Résumé

De plus en plus d'enfants guérissent de leur cancer. Toutefois, malgré la guérison, la maladie et le traitement peuvent continuer de peser lourdement sur leur psychisme pendant de nombreuses années, provoquant des effets psychopathologiques très divers: déficiences intellectuelles et scolaires, troubles du comportement, difficultés relationnelles, familiales et sociales, troubles affectifs, sans que l'enfant, l'adolescent ou le jeune adulte, et sa famille, aient conscience de l'origine de son malaise. L'étude des processus psychiques de l'enfant au moment où il est confronté au cancer et au traitement, puis à sa sortie de l'expérience du cancer, permet de définir les moyens susceptibles de l'aider à sortir de ses difficultés sans séquelle psychique.

Mot-clés auteurs
Cancérologie; Coping; Effet psychologique; Enfant; Guérison; Hémopathie maligne; Psychiatrie; Relation médecin malade; Tumeur maligne;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Citer cet article
OPPENHEIM D, BRUNO Y, GRUJARD D, LEMERLE J. Fin(s) de traitement et «guérison». Arch Pediatr. 1995 Mar;2(3):267-272.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 01/09/2017.


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