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Héparine non fractionnée et thrombose veineuse : y a-t-il un avantage à l’administration intraveineuse ?

Auteurs : BURA A1
Affiliations : 1Service de médecine interne et vasculaire, université de Perugia, via E. dal Pozzo, 06100 Perugia, Italy
Date 1996 Juillet 18, Vol 8, Num 6, pp 384-386Revue : Sang Thrombose Vaisseaux
Lexiques
Résumé

Avec l’introduction de l’héparine en 1937, un traitement médical de la thrombose veineuse devenait disponible pour la première fois et, dès le début des années 40, l’héparine s’est imposée comme le traitement initial de la thrombose veineuse profonde. Cette découverte a changé l’évolution naturelle de la maladie thromboembolique et de sa complication la plus grave : l’embolie pulmonaire. La nécessité d’un traitement initial par l’héparine n’a pourtant été définitivement confirmée qu’en 1992, par un essai randomisé, en double aveugle, conduit par Brandjes et al. [1]. Cette étude a mis en évidence une incidence significativement plus importante des récidives thromboemboliques chez les patients traités uniquement par antivitamines K (12/60, 20 %), par rapport à ceux qui recevaient des antivitamines K associées à un traitement initial à dose ajustée d’héparine (4/60 ; 6,7 %).

Mot-clés auteurs
Efficacité traitement; Glycosaminoglycane; Homme; Héparine; Thrombose; Veine; Voie intraveineuse;
 Source : John Libbey Eurotext
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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BURA A. Héparine non fractionnée et thrombose veineuse : y a-t-il un avantage à l’administration intraveineuse ?. Sang Thrombose Vaisseaux. 1996 Jui 18;8(6):384-386.
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Dernière date de mise à jour : 21/06/2018.


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