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Fissure méniscale : diagnostic différentiel

Auteurs : LEBLOND D, COTTEN A, GOUGEON F, DEWATRE F, CHASTANET P1
Affiliations : 1CHRU Lille, hôp. B, unité imagerie appareil locomoteur, 59037 Lille, France
Date 1995, Vol 15, Num 5, pp 32-38Revue : Radiologie : journal du CEPUR
Résumé

En IRM, les fissures méniscales s'expriment principalement par l'apparition d'un hypersignal atteignant une surface articulaire (hypersignal de grade III). Un certain nombre de structures anatomiques normales peuvent être à l'origine de fausses images de fissuration méniscale. A la partie antérieure, il s'agit de l'artère inféro-latérale du genou, du ligament transverse et du paquet adipeux infra-rotulien. Dans la partie moyenne, la forme concave du bord méniscal externe et le ligament collatéral tibial peuvent être à l'origine d'images pièges. La zone basale du ménisque médial, le tendon poplité et les ligaments méniscaux fémoraux peuvent générer de fausses images de lésions des cornes postérieures. Un hypersignal de type III peut être visualisé sans qu'il existe de fissuration méniscale. Il peut s'agir en particulier de dégénérescences méniscales, de cicatrices fibreuses, de remaniements inflammatoires ou de séquelles de méniscectomie partielle. La connaissance de l'anatomie du genou et de la pathologie méniscale sont indispensables au diagnostic de fissuration méniscale (en IRM).

Mot-clés auteurs
Diagnostic différentiel; Fissure congénitale; Homme; Imagerie RMN; Ménisque;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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LEBLOND D, COTTEN A, GOUGEON F, DEWATRE F, CHASTANET P. Fissure méniscale : diagnostic différentiel. Radiologie : journal du CEPUR. 1995;15(5):32-38.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 11/08/2017.


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