Les besoins de santé et les demandes de soins se différencient nettement selon le sexe à l’adolescence, dès les premières années pubertaires. Les filles expriment plus de plaintes somatiques, plus d’insatisfactions et plus de souffrance psychologique. Les garçons sont beaucoup plus exposés aux accidents et aux ruptures. Ces différences de comportements ne doivent pas être considérées comme des normes selon le sexe, mais plutôt inciter à les réduire de façon à améliorer la qualité de vie et l’accès aux soins des uns et des autres.