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Hormones, cognition et risque de maladie d'Alzheimer chez la femme

Auteurs : SARAZIN M1
Affiliations : 1Institut de la mémoire et de la maladie d'Alzheimer (IMMA), département de neurologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris, France
Date 2012, Vol 16, Num 6, pp 213-215Revue : La lettre du neurologue
Résumé

Si les modèles animaux suggèrent un rôle favorable des estrogènes sur la plasticité synaptique et la mémorisation, les études cliniques chez les femmes ménopausées n'ont pas permis de démontrer une relation entre le taux d'estrogènes sanguins et les performances mnésiques ou les fonctions exécutives. » L'exposition aux estrogènes endogènes exogènes pourraient avoir un effet protecteur sur la amyloïde, qui est considérée comme un des mécanismes causals de la maladie d'Alzheimer. L'hypothès, la plus souvent retenue est qu'une forte exposition aux estrogènes à l'âge adulte, proche de celui de la ménopause, réduit le risque d'Alzheimer, alors qu'une exposition plus tardive augmenterait le risque maladie. Les essais thérapeutiques par hormonothérapie substitutive ne permettent pas de conclure su ce sujet, qui reste débattu.

Mot-clés auteurs
Cognition; Démence d'Alzheimer; Facteur risque; Homme; Oestrogène; Pathologie du système nerveux; Thérapie cognitive;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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SARAZIN M. Hormones, cognition et risque de maladie d'Alzheimer chez la femme. La lettre du neurologue. 2012;16(6):213-215.
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Dernière date de mise à jour : 04/09/2018.


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