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Quelle place pour la dérivation bilio-pancréatique ?: Faut-il accepter les risques et contraintes d'une chirurgie malabsorptive majeure ?

Auteurs : TOPART P1
Affiliations : 1Société de Chirurgie Viscérale, Pôle de consultations, Angers, France
Date 2011, Vol 6, Num 45, pp 4-9Revue : Diabète & obésité
Résumé

A la fin des années 70, le sort du principe de malabsorption en chirurgie de l'obésité semblait réglé par l'abandon des anciennes dérivations type JIB (Jejuno-ileal by-pass) dont les effets secondaires sur le transit intestinal (diarrhées profuses) et les carences parfois mortelles s'étaient avérées intolérables (1). En introduisant la restriction et en réduisant l'intensité de la malabsorption, Scopinaro a développé à partir de 1979 la dérivation bilio-pancréatique (opération dite de Scopinaro): gastrectomie distale laissant un volume de 200 à 500 ce anastomosé aux derniers 250 cm de l'intestin grêle. Le rétablissement de la continuité digestive entre l'anse alimentaire et le grêle exclu l'anse billo-pancréatique est réalisé par une anastomose située à 50 cm de la valvule iléo-cæcale définissant l'anse commune (Fig. 1).

Mot-clés auteurs
Chirurgie bariatrique; Contrainte; Dérivation; Facteur risque; Pancréas; Risque; Traitement; Voie biliaire;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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TOPART P. Quelle place pour la dérivation bilio-pancréatique ?: Faut-il accepter les risques et contraintes d'une chirurgie malabsorptive majeure ?. Diabète & obésité. 2011;6(45):4-9.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 12/08/2017.


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