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VIH et ostéoporose

Auteurs : INAOUI R1, ROZENBERG S1
Affiliations : 1Service de rhumatologie, groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris, France
Date 2010, Num 365, pp 22-28Revue : La lettre du rhumatologue
Résumé

» L'infection par le VIH, qui est devenue une affection chronique, concerne une population féminine plus importante et une population plus âgée que par le passé. » À l'inverse des études transversales, qui semblent suggérer un impact osseux plus ou moins marqué de l'infection par le VIH et peut-être des traitements, la plupart des études longitudinales ne montrent pas d'effets délétères supplémentaires sur la DMO. » À l'instauration, certains traitements semblent plus impliqués dans la perte osseuse, notamment les inhibiteurs des protéases. Le ténofovir présente une toxicité rénale et un risque d'ostéomalacie. » Le risque fracturaire semble plus important en cas d'IMC faible et dans la population non noire. » Le dépistage de l'hypogonadisme et de l'hypovitaminose D doit être systématique. » Les seuls traitements antiostéoporotiques validés chez les porteurs du VIH sont les bisphosphonates.

Mot-clés auteurs
Antirétroviral; Antiviral; Infirmité motrice cérébrale; Ostéoporose; Ostéopénie; Rhumatologie; Traitement; Virus immunodéficience humaine;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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INAOUI R, ROZENBERG S. VIH et ostéoporose. La lettre du rhumatologue. 2010;(365):22-28.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 04/09/2018.


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