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Femmes : théâtre du diable et du bon Dieu

Auteurs : ZIMRA GDate 2008, Num 105, pp 77-89Revue : Topique, revue freudienne
Résumé

L'amour courtois a chanté la Dame au Moyen Age comme la figure de l'absence qui est la figure du désir. Les mystiques chrétiennes empruntèrent au poème courtois en faisant de l'amour divin l'amour de l'innommé de l'incréé, et de Dieu, l'effacement continu du langage la limite infinie. Les possédées à l'inverse réduisaient l'innommé au nommé, l'inconnu au connu en faisant de leurs corps l'espace inédit du mystère, l'énigme du mal, le théâtre du diable et du bon Dieu, l'enjeu tout à la fois théologique et politique, un gouvernement des corps et des âmes.

Mot-clés auteurs
Chant; Christianisme; Corps; Ecriture; Femme; Foule; Possession religieuse; Poésie; Psychanalyse appliquée; Religion;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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ZIMRA G. Femmes : théâtre du diable et du bon Dieu. Topique, revue freudienne. 2008;(105):77-89.
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Dernière date de mise à jour : 11/08/2017.


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