«Good PEEP-Bad PEPP» : ou, comme la langue d'Esope, une pression positive en fin d'expiration (PEEP) peut être salvatrice ou catastrophique
Auteurs : CHEVROLET J1Affiliations : 1Hôp. cantonal univ., soins intensifs médicaux, div. pneumologie, Genève 1211, Switzerland
Date 1990, Vol 48, Num 1827, pp 322-328Revue : Médecine et hygièneAucun résumé disponible
Mot-clés auteurs
Appareil respiratoire pathologie; Bronchopneumopathie obstructive; Chronique; Pression positive résiduelle expiratoire; Réanimation respiratoire; Sevrage; Ventilation artificielle;
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CHEVROLET J-C. «Good PEEP-Bad PEPP» : ou, comme la langue d'Esope, une pression positive en fin d'expiration (PEEP) peut être salvatrice ou catastrophique. Med Hyg (Geneve). 1990;48(1827):322-328.