Body dysmorphk disorder, inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et délire
Auteurs : TIGNOL J1, AOUIZERATE B1, MARTIN-GUELH C1Affiliations : 1Service universitaire de psychiatrie, centre hospitalier Charles-Perrens, 121, rue de la Béchade, 33076 Bordeaux, France
Date 2007, Vol 5, Num 3, pp 149-152Revue : PSNRésumé
: Le body dysmorphic disorder (BDD) n'est devenu une maladie autonome qu'en 1987, après avoir été considéré tantôt comme un trouble obsessionnel, tantôt comme un trouble délirant. Néanmoins, il ne répondait pas aux neuroleptiques. La démonstration, dans les années 1990, de l'efficacité des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS), tant dans les formes délirantes que non délirantes du BDD, a représenté un progrès thérapeutique remarquable, encore trop peu appliqué. Elle fait aussi se poser la question de l'existence de deux sortes de délires, certains sensibles aux neuroleptiques, les autres aux IRS.
Mot-clés auteurs
Antidépresseur; Article synthèse; Dysmorphophobie; Délire; Homme; Inhibiteur recapture; Inhibiteur sélectif recapture sérotonine; Neuroleptique; Psychose; Psychotrope; Sérotonine; Traitement;
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TIGNOL J, AOUIZERATE B, MARTIN-GUELH C. Body dysmorphk disorder, inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et délire. PSN. 2007;5(3):149-152.