La plongée s'effectue dans des milieux hostiles pour l'humain puisqu'on ne peut pas respirer l'eau. Les mesures de sécurité sont donc essentielles. Divas standards ont été établis, soit par des organisations de plongée, des structures d'encadrement, la législation nationale ou des organisations internationales. Une synthèse de ces standards, soit un consensus européen s'est établi récemment au niveau du comité européen de normalisation (CEN). n s'agit de nonnes pour la plongée loisir offert comme un service touristique. On distingue trois catégories: a) plongée d'instruction, b) plongée guidée, c) plongée organisée. les nonnes obligent les responsables d'effectuer une analyse de risque et de garantir la maîtrise des scénarios d'urgence. Les niveaux de compétence des plongeurs sont aussi définis. Une déclaration ou un examen médical doivent assurer l'absence de contre-indications. Ceux qui ne sont pas déclarés aptes sans restriction se groupent en trois types. Les deux premiers types ne sont pas aptes à plonger avec des groupes de plongeurs non-préparés pour les aider, mais peuvent être plongés avec des mesures de sécurité spéciales. Les plongées seront des plongées d'instruction avec des adaptations exceptionnelles. Le troisième type de plongeur peut participer dans des plongées guidées ou organisées en autonomie, mais seulement après instruction par une structure adaptée pour handicapés et sous condition d'un suivi médical et technique régulier. Selon la définition de l'handicap par l'OMS une attitude éthique est définie comme un comportement qui encourage la participation des patients avec des capacités réduites aux activités sociales. Dans ce sens le médecin doit résoudre son problème d'être en même temps garant d'absence de risques médicaux pour une activité sous-marine et d'autre part faciliter la rééducation et socialisation d'un handicapé.