Mémoire, générations et transmission. En partant de quelques témoignages et de quelques réflexions, celles des témoins eux-mêmes ou celle d'un participant indirect comme Hannah Arendt, on s'interroge sur nos capacités à rendre compte de l'inhumanité dont l'homme est capable, comme des différentes figures que peut prendre la résistance à l'horreur sans cesse renaissante. On cherche à replacer ces questions dans la perspective de la transmission intergénérationnelle, plus particulièrement pédagogique, en particulier dans l'articulation de la transmission de l'expérience indirecte des horreurs extrêmes et des horreurs banales auxquelles sont confrontés adultes et élèves.