Résumé
Associations et professionnels témoignent des risques liés à l'usage de substances psychoactives en milieu festif, tant par rapport aux substances en elles-mêmes qu'à l'exposition au VIH/sida. L'article pointe plus particulièrement le GHB (Gamma hydroxy-butyrate de sodium), anesthésique détourné dont l'utilisation est devenue festive et parfois criminelle, d'où son surnom de drogue du viol.
Mot-clés auteurs
Abus sexuel; Anesthésie; Coma; Consommation; Drogue illicite; Homosexualité; Prise risque; SIDA;