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Foie, voies biliaires et hyperéosinophilie : Infections non virales du foie

Auteurs : PARIENTE A1
Affiliations : 1Unité d'hépato-gastroentérologie, Centre hospitalier, Pau, France
Date 2002, Vol 5, Num 3, pp 128-131Revue : La lettre de l'hépato-gastroentérologue
Résumé

L'association éosinophilie-cholestase suggère principalement une parasitose à vers, une hépatite médicamenteuse, une cholangite sclérosante, une vascularite, un lymphome, un syndrome hyperéosinophilique. En cas de forte éosinophilie, les deux principales parasitoses autochtones sont la distomatose et l'ascaridiose (Larva migrons). L'association hypertension portale-hyperéosinophilie suggère de rechercher en premier une schistosomiase, un syndrome myéloprolifératif. Le syndrome hyperéosinophilique revêt trois types : myéloprolifératif, allergique et cryptogénétique. Un lymphome T occulte peut en être responsable. L'efficacité de l'imatinib dans les syndromes hyperéosinophiliques de type myéloprolifératif vient d'être rapportée.

Mot-clés auteurs
Article synthèse; Diagnostic; Etiologie; Foie voie biliaire; Homme; Hyperéosinophilie syndrome; Parasitose; Pathogénie;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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PARIENTE A. Foie, voies biliaires et hyperéosinophilie : Infections non virales du foie. La lettre de l'hépato-gastroentérologue. 2002;5(3):128-131.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 11/08/2017.


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