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« Donner et retenir ne vaut » : La dette

Auteurs : DE MIJOLLA-MELLOR SDate 2002, Num 79, pp 25-40Revue : Topique, revue freudienne
Résumé

Si la retaliation est naturelle, en revanche la reconnaissance de la dette doit être apprise dès l'enfance (« Dis merci »). Elle constitue en effet un acquis fondamental qui conditionne l'établissement d'un lien de droit entre les personnes. Mais l'inconscient peut brouiller les cartes et la dette se déplacer dès lors du créancier réel à un autre imaginaire auprès duquel il n'est pas possible de l'acquitter. Ou encore, le débiteur peut se trouver dans l'incapacité de la reconnaître parce qu'il se considère lui-même comme un créancier indéfiniment lésé. On tente ici, à partir d'exemples, de confronter la logique primitive qui régit le sentiment du « bon droit», qui est toujours celui du sujet, à celle qui préside à l'établissement des règles d'obligations.

Mot-clés auteurs
Contrat; Dette; Droit civil; Etude comparative; Homme; Imago parental; Interprétation psychanalytique; Milieu familial; Névrose; Psychanalyse; Père; Reconnaissance; Relation interpersonnelle; Relation sociale; Symptomatologie;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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DE MIJOLLA-MELLOR S. « Donner et retenir ne vaut » : La dette. Topique, revue freudienne. 2002;(79):25-40.
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Dernière date de mise à jour : 11/08/2017.


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