Cette conférence a réuni près de 400 participants, venus d’horizons géographiques et professionnels très divers, même si nombre de conférenciers étaient étatsuniens.

Sur le plan de la participation, on a pu noter :

– la présence extrêmement forte des scientifiques asiatiques, qu’ils soient là en tant que représentants d’institutions asiatiques (japonaises, chinoises et coréennes principalement) ou d’institutions américaines (étudiants, PhD, post-docs ou immigrés plus « permanents », voire de seconde génération) \;

– la forte présence de spécialistes de santé-travail et la très forte intégration dans les communications des expositions environnementales et des expositions professionnelles (le National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH) était d’ailleurs un des sponsors de la conférence) \;

– la très faible présence des institutions françaises, qui se limitait à deux personnes : un représentant de l’École des hautes études en santé publique (EHESP) et un représentant de l’Institut de veille sanitaire (InVS).