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Hémopéritoine, comment gérer ?

Auteurs : Millet I, Bouic-Pages E1, Alili C1, Curros-Doyon F1, Ruyer A1, Taourel P1
Affiliations : 1Service d’imagerie médicale, hôpital Lapeyronie, 371, avenue du Doyen-Gaston-Giraud, 34295 Montpellier cedex 5, France
Date 2014 Juin 10, Vol 24, Num 2, pp 84-91Revue : Imagerie de la FemmeDOI : 10.1016/j.femme.2014.03.002
Mise au point
Résumé

Un hémopéritoine spontané est une urgence diagnostique et thérapeutique pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Le diagnostic est rarement suspecté au décours de l’examen clinique, qui reste peu spécifique, retrouvant une douleur abdominale aiguë isolée, parfois accompagnée de signes de déglobulisation. C’est par les examens d’imagerie complémentaires que le diagnostic positif est posé. Les causes d’un hémopéritoine spontané sont multiples et peuvent être classées en causes gynécologique, hépatique, splénique, vasculaire et trouble de la coagulation. Le radiologue doit orienter le clinicien vers l’étiologie la plus probable pour décider de la prise en charge thérapeutique adéquate. Le but de cette mise au point est de décrire les éléments séméiologiques qui permettent de poser le diagnostic d’hémopéritoine en échographie, scanner et IRM puis nous détaillerons les différentes étiologies de cet hémopéritoine avec leurs principales caractéristiques cliniques et radiologiques d’orientation.

Mot-clés auteurs
Hémopéritoine; Non traumatique; TDM; Urgences;
 Source : Elsevier-Masson
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Millet I, Bouic-Pages E, Alili C, Curros-Doyon F, Ruyer A, Taourel P. Hémopéritoine, comment gérer ?. Imagerie de la Femme. 2014 Juin 10;24(2):84-91.
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Dernière date de mise à jour : 27/11/2015.


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