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Besoin d’un plus petit que soi : comment le modèle drosophile contribue à l’étude de l’éveil/sommeil et de ses troubles

Auteurs : Seugnet L1
Affiliations : 1Inserm U1028, CNRS UMR 5292, centre de recherche en neurosciences de Lyon, équipe physiologie intégrée du système d’éveil, université Claude-Bernard Lyon 1, 8, avenue de Rockefeller, 69373 Lyon cedex 08, France
Date 2014 Juillet 30, Vol 11, Num 3, pp 118-134Revue : Médecine du SommeilDOI : 10.1016/j.msom.2014.04.002
Mise au point
Résumé

Depuis la publication il y a plus de dix ans des articles princeps, le nombre de publications utilisant la drosophile pour l’étude de l’éveil et du sommeil a explosé, couvrant aussi bien les régulations physiologiques, moléculaires et cellulaires du sommeil, que les liens entre sommeil et rythmes circadiens, performance, mémoire, métabolisme et immunité pour ne citer que certains domaines de recherche. C’est l’occasion de faire le point sur les caractéristiques et atouts de ce modèle, ainsi que ses contributions dans le domaine de la recherche sur le sommeil et l’éveil.

Mot-clés auteurs
Génétique moléculaire; Drosophile; Éveil/sommeil; Plasticité neuronale; Réponse immunitaire;
 Source : Elsevier-Masson
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Seugnet L. Besoin d’un plus petit que soi : comment le modèle drosophile contribue à l’étude de l’éveil/sommeil et de ses troubles. Médecine du Sommeil. 2014 Jui 30;11(3):118-134.
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Dernière date de mise à jour : 27/11/2015.


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