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Y a-t-il des dénis de grossesse qui se terminent bien ?

Auteurs : Sanselme-Cardenas M1, Rabanel J2, Lestien R3, Foulhy C4
Affiliations : 1diagnostic anténatal, Centre hospitalier universitaire Estaing, 63003 Clermont-Ferrand cedex 1, France263000 Clermont-Ferrand, France344000 Nantes, France
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Date 2012 Novembre, Vol 11, Num 99, pp 30-32Revue : Vocation sage-femmeType de publication : revue de la littérature; DOI : 10.1016/j.vsf.2012.09.009
Résumé

Ce travail a été réalisé dans le cadre de la maternité de niveau 3 du Centre hospitalier universitaire de Clermont-Ferrand qui accueille, depuis huit ans, des présentations cliniques. Il s’appuie sur un corpus récent de l’expérience clinique de gynécologues-obstétriciens courageux et novateurs qui ont avancé et fait connaître l’idée du déni de la grossesse et ont permis sa transmission au corps médical, à la société et à la justice. Il se réfère au discours analytique et porte essentiellement sur deux cas de déni de grossesse totaux, le premier, chez une primipare et l’autre, chez une seconde pare ayant déjà présenté un déni partiel lors de sa première grossesse.

Mot-clés auteurs
Corps; Déni de grossesse; Grossesse psychique; Prise en charge analytique;
 Source : Elsevier-Masson
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Sanselme-Cardenas M, Rabanel J, Lestien R, Foulhy C. Y a-t-il des dénis de grossesse qui se terminent bien ?. Vocation sage-femme. 2012 Nov;11(99):30-32.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 27/11/2015.


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