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Quand le corps garde l’empreinte de l’effraction et la mémoire de l’intrusion

Auteurs : Ludot-Grégoire MDate 2023 Janvier, Vol 44, Num 330, pp 30-31Revue : Soins. Pédiatrie, puéricultureDOI : 10.1016/j.spp.2022.12.007
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Résumé

z Une place insuffisante est accordée à la parole des enfants et des adolescents sur le sujet, pourtant crucial, des violences sexuelles z Pédopsychiatre et spécialiste des questions transculturelles, Marie Rose Moro est intervenue sur ce thème lors du Symposium du 4 décembre 2021 z« Repenser la place du corps en psychiatrie, de l’enfance à l’âge adulte »z À cette occasion, elle a tout particulièrement abordé la manière dont le corps conserve l’empreinte de l’effraction et la mémoire de l’intrusion dans les suites d’abus sexuels.

Mot-clés auteurs
abus sexuel; enfant; libération de la parole; prise en charge; symptôme; violence faite aux enfants;

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : Elsevier-Masson
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Ludot-Grégoire M. Quand le corps garde l’empreinte de l’effraction et la mémoire de l’intrusion. Soins Pediatr Pueric. 2023 Jan;44(330):30-31.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 17/02/2023.


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