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Neuf pour cent des patients présentent des symptômes musculosquelettiques après une infection sévère par le SRAS-CoV2 : une analyse descriptive de l’entrepôt de données de santé de l’Assistance publique–Hôpitaux de Paris

Auteurs : Molto A1, Pinson P2, Beeker N2, Roux C1
Affiliations : 1Rhumatologie, Assistance publique–Hôpitaux de Paris, Paris2Urc Cochin, Assistance publique–Hôpitaux de Paris, Paris
Date 2021 Décembre, Vol 88, pp A100-A100Revue : Revue du rhumatismeDOI : 10.1016/j.rhum.2021.10.159
PC.06
Résumé

Introductionla manifestation principale et la plus sévère de l’infection par le SRAS-CoV2 est la pneumopathie, mais d’autres symptômes spécifiques à certains organes ont été décrits (myocardite, encéphalite, …), et quelques rares cas de symptômes musculosquelettiques (MSK) suite à une telle infection ont été rapportés. La manifestation principale et la plus sévère de l’infection par le SRAS-CoV2 est la pneumopathie, mais d’autres symptômes spécifiques à certains organes ont été décrits (myocardite, encéphalite, …), et quelques rares cas de symptômes musculosquelettiques (MSK) suite à une telle infection ont été rapportés. L’objectif de ce travail était de déterminer la prévalence des symptômes MSK apparaissant suite à une infection par le SRAS-CoV2.Patients et méthodesCohorte observationnelle basée sur les données disponibles à l’Entrepôt de données de santé (EDS) de l’Assistance publique–Hôpitaux de Paris (AP–HP) (qui comprend les données des patients admis dans les 39 hôpitaux de l’AP–HP). Les données recueillies comprenaient à la fois les codes CIM-10 dans les résumés de sortie et la recherche de « mots clés » dans les dossiers médicaux électroniques (DME). Pour être inclus dans l’analyse, les patients devaient avoir une RT-PCR positive pour le SRAS-CoV2 réalisée à l’AP–HP et être admis dans un service de l’APHP entre le 1er mars 2020 et le 31 décembre 2020. Les patients ayant des antécédents de maladies musculosquelettiques ont été exclus. Les affections du système musculosquelettique n’étaient prises en compte que si elles étaient codées ou signalées dans un DME jusqu’à 90 jours après la RT-PCR positive. Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie, y compris le traitement, ont été comparées dans les deux groupes (MSK oui/non) par le testtou le test Chi2.

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : Elsevier-Masson
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Molto A, Pinson P, Beeker N, Roux C. Neuf pour cent des patients présentent des symptômes musculosquelettiques après une infection sévère par le SRAS-CoV2 : une analyse descriptive de l’entrepôt de données de santé de l’Assistance publique–Hôpitaux de Paris. Rev Rhum Ed Fr. 2021 Déc;88:A100-A100.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 12/12/2021.


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