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Que sait-on des fractures fémorales atypiques ? Entre progrès et inconnues

Auteurs : Audran M, Cortet B1, Thomas T2
Affiliations : 1UDSL, EA 4490, service de rhumatologie, CHU Lille, université Lille Nord de France, 59000 Lille, France2Inserm U1059, service de rhumatologie, CHU de Saint-Etienne, 42055 Saint-Étienne cedex 2, France
Date 2011 Mars 10, Vol 78, Num 5, pp 423-426Revue : Revue du rhumatismeDOI : 10.1016/j.rhum.2011.03.006
Mise au point
Résumé

Si la réalité des fractures atypiques ne fait aucun doute et si la prise de bisphosphonates semble bien en constituer un facteur de risque important, les mécanismes conduisant à leur survenue restent mal connus. D’un point de vue épidémiologique, ces fractures ne représentent qu’une faible partie des fractures fémorales diaphysaires sous-trochantériennes et restent bien plus rares que les fractures de l’extrémité supérieure du fémur avec un ratio actuellement estimé à un pour cent. Leur existence ne remet donc pas en cause le rapport efficacité/tolérance très favorable de ces molécules au cours de l’ostéoporose, le nombre de fractures épargnées par ces traitements surpassant largement la majoration du risque de ces fractures atypiques.

Mot-clés auteurs
Bisphosphonates; Fractures atypiques; Ostéoporose;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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Citer cet article
Audran M, Cortet B, Thomas T. Que sait-on des fractures fémorales atypiques ? Entre progrès et inconnues. Rev Rhum Ed Fr. 2011 Mar 10;78(5):423-426.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 01/05/2018.


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