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Hépatite virale E

Auteurs : Péron J-M, Mansuy J-M1
Affiliations : 1Laboratoire de virologie, Hôpital Purpan, Centre hospitalier universitaire de Toulouse, place du Docteur-Baylac, TSA 40031, 31059 Toulouse cedex 9, France
Date 2009, Vol 4, Num 1, pp 1-6Revue : EMC - HépatologieType de publication : article de périodique; DOI : 10.1016/S1155-1976(09)46514-8
Résumé

Le virus de l'hépatite E est le seul virus hépatotrope pour lequel il existe un risque de transmission directe de l'animal à l'homme (existence d'un réservoir animal). En France, une hépatite E doit maintenant être suspectée devant toute hépatite aiguë inexpliquée, même en dehors de voyage en zone d'endémie (hépatite E autochtone). Le diagnostic est évoqué sur la détection d'IgG ou d'IgM dirigées contre le VHE mais il doit être idéalement confirmé par la détection directe du virus par PCR dans les selles et le sang. Les formes fulminantes sont plus fréquentes que dans l'hépatite A ou B. Les hépatites E autochtones sont caractérisées par un âge de survenue avancé, un pronostic sévère et l'existence de formes prolongées (> 6 mois) chez certains patients immunodéprimés.

Mot-clés auteurs
Hépatite aiguë E; Hépatite fulminante; Cytolyse; Zoonose; Virus à ARN;
 Source : Elsevier-Masson
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Citer cet article
Péron J-M, Mansuy J-M. Hépatite virale E. EMC - Hépatologie. 2009;4(1):1-6.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 22/08/2020.


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