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Quelle place pour la néostigmine dans l’antagonisation des curares ?

Auteurs : Raft J, Lamotte A1, Meistelman C2
Affiliations : 1Département d’anesthésie-réanimation, Institut de cancérologie de Lorraine, avenue de Bourgogne, 54511 Vandœuvre-lès-Nancy, France2Département d’anesthésie-réanimation, CHU Nancy Brabois, Université Henri Poincaré-Nancy I, 54511 Vandœuvre-lès-Nancy, France
Date 2016 Septembre, Vol 29, Num 150, pp 17-19Revue : OxymagType de publication : article de périodique; DOI : 10.1016/j.oxy.2016.08.005
douleur
Résumé

La néostigmine a longtemps été la seule molécule susceptible d’antagoniser l’action des curares. L’introduction du sugammadex nécessite un positionnement de chacun de ces deux produits.Malgré des différences en termes d’indications et de rapidité d’action en faveur du sugammadex, la néostigmine garde une place dans notre pratique, notamment pour l’antagonisation des benzylisoquinolines mais aussi en cas d’insuffisance rénale sévère.

Mot-clés auteurs
décurarisation; néostigmine; sugammadex;

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : Elsevier-Masson
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Raft J, Lamotte A, Meistelman C. Quelle place pour la néostigmine dans l’antagonisation des curares ?. Oxymag. 2016 Sep;29(150):17-19.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 18/10/2016.


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