L’activité physique joue probablement un rôle prépondérant sur la susceptibilité liée à l’âge de développer un diabète de type 2. La question d’une définition d’un besoin minimum et d’une charge maximale d’activité physique nécessaire au maintien d’un statut métabolique optimal dans la prévention et le traitement du diabète de type 2, se doit d’être posée au regard de multiples facteurs. Parmi ces facteurs, l’inactivité physique, l’âge et l’obésité peuvent, indépendamment de la maladie en elle-même, affecter la composition corporelle et la réponse métabolique à l’exercice et donc les effets adaptatifs escomptés. La mise en place de profils de réponses à l’exercice tenant compte de ces facteurs serait souhaitable afin de pouvoir identifier, programmer et prescrire une charge d’activités physiques adaptée à chaque individu.