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18F-FDG et infection

Auteurs : Morelec I, Lafont P1, Houzard C2, Pellet O3, Giammarile F2
Affiliations : 1Service de médecine nucléaire, CHU de Lyon-Sud, chemin du Grand-Revoyet, 69495 Pierre-Bénite cedex, France2EA 37-38, université Claude-Bernard- Lyon-1, Lyon, France3INOL, clinique de la sauvegarde, 25, avenue des sources, 69009 Lyon, France
Date 2008 Janvier 20, Vol 32, Num 3, pp 173-189Revue : Médecine NucléaireDOI : 10.1016/j.mednuc.2008.01.005
Revue générale
Résumé

Dans cette revue de la littérature, il apparaît que la TEP au18F-FDG se développe actuellement dans d’autres domaines que celui de la cancérologie, de la neurologie ou de la cardiologie avec un champ vaste dans celui de l’infection. Compte tenu du manque de recul dans ce domaine et de l’apport trop récent des nouvelles caméras TEP hybrides, sa place exacte reste à définir dans un nombre croissant d’indications. En effet, peu d’études prospectives sur des populations homogènes de patients sont disponibles actuellement, le caractère non spécifique de la fixation du18F-FDG, dépendant de l’équilibre glycémique, amenant souvent à définir des critères d’exclusion quelque peu éloignés de la réalité clinique. Enfin son coût et sa disponibilité sont encore à l’heure actuelle un frein à son utilisation en pratique courante.

Mot-clés auteurs
Infection; TEP–FDG;
 Source : Elsevier-Masson
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Morelec I, Lafont P, Houzard C, Pellet O, Giammarile F. 18F-FDG et infection. Médecine Nucléaire. 2008 Jan 20;32(3):173-189.
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Dernière date de mise à jour : 25/03/2017.


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