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Bases neurologiques de l’olfaction et de ses déficits

Auteurs : Golebiowski J1
Affiliations : 1Institut de chimie, UMR 7272 CNRS, université de Nice Sophia-Antipolis, Nice
Date 2015 Novembre, Vol 30, Num 8, Supplement, pp S31-S31Revue : European psychiatry : the journal of the Association of European PsychiatristsDOI : 10.1016/j.eurpsy.2015.09.092
S15A
Résumé

L’étude scientifique des sens chimiques que sont l’odorat et le goût a été longtemps négligée par rapport à celle de la vue et de l’ouïe. L’odorat a souvent été considéré comme un sens mineur, ramenant l’Homme à son animalité. Les organes récepteurs de la vue et de l’ouïe sont beaucoup plus facilement identifiables et accessibles à l’investigation anatomique que ne le sont la muqueuse olfactive et les papilles gustatives. L’existence et le caractère fonctionnel chez l’Homme d’une perception spécifique aux phéromones étaient encore récemment discutés. Depuis l’inhalation d’une molécule jusqu’à sa perception consciente ou inconsciente, les mécanismes sont extrêmement complexes et font intervenir de multiples protagonistes. Cette présentation passera en revue les connaissances actuelles sur les mécanismes de la perception olfactive, en se focalisant sur les étapes impliquant les molécules odorantes, puis, de manière plus générale, abordera les grandes étapes qui mènent de la molécule à l’odeur.

Mot-clés auteurs
Molécule odorante; Récepteur olfactif; Neurone olfactif; Perception;
 Source : Elsevier-Masson
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Golebiowski J. Bases neurologiques de l’olfaction et de ses déficits. European psychiatry : the journal of the Association of European Psychiatrists. 2015 Nov;30(8):S31-S31.
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Dernière date de mise à jour : 07/06/2016.


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