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Facteurs de la variation de la fréquence cardiaque maximale: hypothèse «enképhalinique

Auteurs : Semmoum Y1, Younes A2, Coudert J1
Affiliations : 1Laboratoire de physiologie-biologie du sport, faculté de médecine, place Henri-Dunant, BP 38, 63001 ClermontFerrand, France2département de biologie appliquée, IUT, université d'Auvergne, 63001 Clermont-Ferrand, France
Date 1998, Vol 13, Num 6, pp 272-274Revue : Science & sportsDOI : 10.1016/S0765-1597(99)80004-5
Communication brève
Résumé

Afin d'expliquer la diminution de la fréquence cardiaque maximale dans différentes situations (hypoxie chronique, âge, malnutrition protéinoénergétique...), nous avons étudié la libération et la concentration cardiaques du pentapeptide, leucine-enképhaline, par le coeur isolé et perfusé de rat. La concentration cardiaque de ce peptide passe de 301 ± 60 fmol/g avant la perfusion à 543 ± 125 après l'heure de perfusion, tandis que la quantité libérée par le coeur pendant cette période correspond à quatre fois la concentration cardiaque initiale. Tenant compte de l'inhibition des effets cardiotropes des catécholamines par la leucine-enképhaline dans des cardiomyocytes isolés, il est possible de proposer un mécanisme afin d'expliquer totalement ou partiellement la diminution de la fréquence cardiaque maximale dans les situations décrites ci-dessus.

Mot-clés auteurs
Catécholamine; Enképhaline leucine; Fréquence battement; In vitro; Rat; Rythme cardiaque; Stress;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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Citer cet article
Semmoum Y, Younes A, Coudert J. Facteurs de la variation de la fréquence cardiaque maximale: hypothèse «enképhalinique. Sci Sports. 1998;13(6):272-274.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 22/08/2017.


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