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Overtraining syndrome : la piste de la suractivité ?

Auteurs : Brun J-F, Pégot J-M1, Mercier J1
Affiliations : 1ERI25 INSERM, muscle et pathologies, service de physiologie clinique, centre d’exploration et de réadaptation des anomalies du métabolisme musculaire (CERAMM), CHU de Montpellier, 34295 Montpellier cedex 5, France
Date 2008 Novembre 20, Vol 23, Num 6, pp 310-312Revue : Science & sportsDOI : 10.1016/j.scispo.2007.11.004
Communication brève
Résumé

IntroductionLe surentraînement est multifactoriel. Nous avons voulu évaluer l’importance respective de la suractivité et des déséquilibres de l’apport alimentaire.Synthèse des faitsUne comparaison de 17 footballeurs avec sept surentraînés avérés montre que les deux groupes se différencient par la dépense énergétique (DE) de l’activité sportive (1573 ± 378,6 kcal/j contre 804,7 ± 184,7 kcal/j) tandis que l’alimentation ne montre pas de différence significative.ConclusionDans cet échantillon de sujets, l’alimentation présente des anomalies dans les deux groupes, et ce qui caractérise lesovertraining syndromesest bien une activité physique supérieure. La suractivité est bien un des facteurs centraux de ce syndrome, qui mérite donc tout de même un peu son nom de « surentraînement ».

Mot-clés auteurs
Surentraînement; Questionnaire; Dépense énergétique; Nutrition; Protéines;
 Source : Elsevier-Masson
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
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Brun J-F, Pégot J-M, Mercier J. Overtraining syndrome : la piste de la suractivité ?. Sci Sports. 2008 Nov 20;23(6):310-312.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 22/08/2017.


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