IntroductionLe surentraînement est multifactoriel. Nous avons voulu évaluer l’importance respective de la suractivité et des déséquilibres de l’apport alimentaire.Synthèse des faitsUne comparaison de 17 footballeurs avec sept surentraînés avérés montre que les deux groupes se différencient par la dépense énergétique (DE) de l’activité sportive (1573 ± 378,6 kcal/j contre 804,7 ± 184,7 kcal/j) tandis que l’alimentation ne montre pas de différence significative.ConclusionDans cet échantillon de sujets, l’alimentation présente des anomalies dans les deux groupes, et ce qui caractérise lesovertraining syndromesest bien une activité physique supérieure. La suractivité est bien un des facteurs centraux de ce syndrome, qui mérite donc tout de même un peu son nom de « surentraînement ».