IntroductionVérifier si le cortisol peut servir d’indicateur de la charge de travail lors d’un entraînement mixte aérobie et anaérobie.Synthèse des faitsAu cours d’une période d’entraînement de 15 semaines chez 12 jeunes lutteurs de niveau national à international, le cortisol salivaire a été dosé toutes les trois semaines et la performance à l’épaulé-debout (force explosive) a été mesurée en semaine 4 et 15. Les résultats montrent que les lutteurs qui ont les taux de cortisol les plus élevés sont ceux qui progressent le moins en force explosive (r = −0,72,p < 0,01).ConclusionIl semble donc que le suivi du cortisol devrait permettre de contrôler la charge d’entraînement.