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N-15 Interniste infectiologue en secteur libéral : points forts, limites, coopérations possibles… à partir d’une expérience rennaise et montpelliéraine

Auteurs : Andre P1, Bibes B1
Affiliations : 17 rue Marceau 34000 Montpellier
Date 2009, Vol 39, pp S63-S63Revue : Médecine et maladies infectieusesDOI : 10.1016/S0399-077X(09)74472-5
Antibiotiques et bon usage
Résumé

Introduction et objectifsPrésentation de l’activité en infectiologie libérale à partir de deux expériences conduites l’une depuis 8 ans sur Montpellier, l’autre depuis 5 ans sur Rennes. Repérage des points forts, des limites de ce type de pratique et des partenariats possibles avec l’infectiologie hospitalière.Matériels et méthodesAnalyse quantitative et qualitative de l’activité sur l’année 2008 de consultation, infectiologie itinérante, hospitalisation, et actions préventives.RésultatsAvec une activité mixte à la fois libérale (consultations, hospitalisations, avis infectieux) et salariée (infectiovigilance, hygiène, qualité, Epp) dans des établissements privés MCO de 250 à 300 lits, l’infectiologue libéral bénéficie d’une activité polyvalente. Seront présentées les données concernant : - l’activité de consultation en cabinet - l’activité d’infectiologie itinérante en secteur chirurgical et l’activité salariée axée sur l’amélioration des pratiques en infectiologie. Cet exercice encore marginal en libéral, tend à se développer du fait de l’évolution du secteur privé : regroupement de cliniques, mise au normes des CLIN, prise de conscience et volonté de prise en charge des complications post opératoires septiques et de leurs préventions. Celui-ci du fait de sa réactivité, et des partenariats possibles, est aujourd’hui en démarche pour développer la recherche clinique, voire l’accueil de stagiaires. Plusieurs pistes possibles de coopération libéral-public seront proposées comme celle de la possible représentation des praticiens libéraux dans le prochain syndicat des infectiologues.ConclusionL’infectiologie en milieu libéral est nécessaire, passionnante et viable et le partenariat entre infectiologues du public et du privé ne peut être que source d’enrichissements mutuels.

 Source : Elsevier-Masson
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Andre P, Bibes B. N-15 Interniste infectiologue en secteur libéral : points forts, limites, coopérations possibles… à partir d’une expérience rennaise et montpelliéraine. Médecine et maladies infectieuses. 2009;39:S63-S63.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 27/11/2015.


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