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Neuropathies sensitives

Auteurs : Camdessanché J-P, Antoine J-C1
Affiliations : 1Centre de référence syndromes neurologiques paranéoplasiques Lyon–Paris–Saint-Étienne, CHU de Saint-Étienne, 42055 Saint-Étienne cedex 2, France
Date 2015 Janvier, Vol 12, Num 1, pp 1-7Revue : EMC - NeurologieType de publication : revue de la littérature; DOI : 10.1016/S0246-0378(14)65747-X
Affections des nerfs
Résumé

Les neuropathies sensitives sont les plus fréquentes des neuropathies. La difficulté pour le neurologue vient du fait qu’au milieu de nombreuses neuropathies sensitives dont l’étiologie est évidente ou d’autres dites « idiopathiques » et relativement peu évolutives, se cachent des neuropathies qui imposent un diagnostic étiologique car elles sont curables, d’origine génétique, graves et/ou de mauvais pronostic. Après l’anamnèse et l’examen clinique qui permettent de « classer » la neuropathie, le neurologue a recours à l’électroneuromyogramme pour définir le caractère axonal et/ou démyélinisant de l’atteinte périphérique. Il le renseigne aussi sur la distribution des troubles ainsi que sur l’évolutivité et la gravité de la neuropathie. Nous nous proposons de revenir sur les principaux tableaux de neuropathies sensitives en mettant en parallèle les données physiopathologiques, cliniques et neurophysiologiques.

Mot-clés auteurs
Amylose; CANOMAD; ENMG; Génétique; HSAN; MAG; Mononeuropathie multiple; Neuropathie des petites fibres; Neuropathie sensitive; Neuronopathie sensitive; PIDC;
 Source : Elsevier-Masson
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Citer cet article
Camdessanché J-P, Antoine J-C. Neuropathies sensitives. EMC - Neurologie. 2015 Jan;12(1):1-7.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 12/10/2019.


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