Ver migrant buccal autochtone : ce n’est pas forcément un délire d’infestation
Auteurs : Battistelli-Lux C, Steinmetz H1, Hersant C2, Pesson B2, Candolfi E2Affiliations : 1Cabinet, Saint-Louis, Strasbourg, France2Institut de parasitologie, Strasbourg, France
Date 2013 Décembre, Vol 140, Num 12, Supplement 1, pp S588-S588Revue : Annales de dermatologie et de vénéréologieDOI : 10.1016/j.annder.2013.09.511Aucun résumé disponible
Mot-clés auteurs
Gongylonema pulchrum; Nématode; Ver migrant buccal;