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Violences conjugales : clinique d'une relation d'emprise

Auteurs : Hajbi M, Weyergans E1, Guionnet A1
Affiliations : 1Psychologues Cliniciennes, Antenne de Psychiatrie et de Psychologie Légales, Centre Médico-Psychologique, 22, rue de Châteaudun, 92250 La Garenne Colombes
Date 2005 Avril 6, Vol 165, Num 6, pp 389-395Revue : Annales médico-psychologiquesType de publication : article de périodique; DOI : 10.1016/j.amp.2005.04.018
Mémoire
Résumé

La relation d'emprise que le sujet violent met en œuvre dans le lien conjugal définit une relation perverse à l'objet. La violence, par sa paradoxalité et le compromis qu'elle permet – se séparer et fusionner en même temps – est alors la solution coûteuse utilisée par le sujet. La loi peut avoir le rôle du tiers séparateur et interdicteur, tandis que la thérapie psychodynamique peut permettre à la personne de relancer le processus identificatoire et trouver la bonne distance face à l'objet.

Mot-clés auteurs
Identification; Narcissisme; Obligation de soins; Relation d'emprise; Relation spéculaire; Violences conjugales;
 Source : Elsevier-Masson
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Citer cet article
Hajbi M, Weyergans E, Guionnet A. Violences conjugales : clinique d'une relation d'emprise. Ann Med Psychol (Paris). 2005 Avr 6;165(6):389-395.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 25/03/2017.


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