Vers une optimisation de la modulation du récepteur des œstrogènes dans le traitement hormonal de la ménopause.
Auteurs : Valéra M1, Fontaine C1, Noirrit-Esclassan E1, Boudou F1, Buscato M1, Adlanmerini M1, Trémollières F1, Gourdy P1, Lenfant F1, Arnal J1Les femmes vivent désormais plus d’un tiers de leur vie après la survenue de la ménopause. Le déclin de la production d’œstrogènes endogènes au cours de cette période s’accompagne fréquemment de troubles fonctionnels qui affectent la qualité de vie. Ces symptômes peuvent être soulagés par un traitement hormonal (THM) initialement fondé sur l’administration d’œstrogènes conjugués équins (principalement aux États-Unis, par voie orale) ou d’un œstrogène naturel, le 17β-estradiol (en Europe, notamment par voie transdermique). Le récepteur des œstrogènes α (REα) relaye la majorité des effets physiologiques des œstrogènes. REα appartient à la superfamille des récepteurs nucléaires. Il régule la transcription de gènes
Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.