L’auteur évoque d’abord le souvenir de sa première rencontre avec G. Palmade, lors de la soutenance de thèse de celui-ci. Ensuite, il fait état des rapports de Palmade avec Lagache et de ses démêlés avec Piéron. Il esquisse les raisons qui ont amené Palmade à se centrer sur le travail de formation à edf. Il évoque le retentissement de l’ouvrage de Palmade chez les sociologues et les psychologues-philosophes. Il situe l’ouvrage de Palmade dans le contexte de l’après-guerre qui favorise chez les intellectuels américains, en particulier T. Parsons, le désir d’écrire des œuvres d’une grande portée théorique. Il termine en notant tout ce qu’il y a de « plus vivant » dans L’unité des sciences humaines et en souhaitant que la génération des jeunes psychosociologues s’inspire de cette œuvre.