Je suis, à nouveau, provoquée dans ma conscience. M’est-il possible de chercher à « penser contre moi-même » ? Ne serait-ce que pour écouter sérieusement les raisons invoquées par ceux qui sont demandeurs d’une évolution de la législation ? Puis-je tester l’ancrage des raisons qui me font, d’abord, regarder la légalisation de l’euthanasie avec crainte ; et non comme un bienfait pour une poignée de personnes qui se sentiront respectées, le moment venu, dans leur choix ?