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Jeunes psychiatres : quand le secteur libéral dévisse

Auteurs : Deschenau A, Blanc J, Teuma LDate 2017 Novembre 1, Vol 93, Num 9, pp 729-733Revue : L'Information psychiatriqueDOI : 10.1684/ipe.2017.1708
Cabinets de ville (Dossier coordonné par Martin Reca et Aude Van Effenterre)
Résumé

Les données démographiques montrent une régression du mode d’exercice libéral exclusif. Plusieurs causes l’expliquent. Les nouveaux psychiatres appartiennent à la génération Y, dont les attentes professionnelles influencent l’évolution des modes d’exercice. Le faible delta des rémunérations moyennes entre public et libéral en psychiatrie ne favorise pas l’attractivité de ce dernier. Par ailleurs, l’origine sociale de moins en moins libérale des médecins favorise une régression de mode d’exercice. Il existe des peurs identifiables concernant l’installation libérale: la peur de l’isolement, de l’ennui, celle de s’engager, de s’aliéner au travail, la peur des charges administratives, et celles d’investir et du cabinet vide. Les jeunes psychiatres n’étant pas plus à l’hôpital public, constat est fait d’un renouveau des modes d’exercice que la révolution numérique accélérera probablement.

Mot-clés auteurs
exercice libéral; psychiatre; psychiatrie; effectif; condition d’exercice; rémunération; attractivité; projet professionnel;

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : John Libbey Eurotext
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Deschenau A, Blanc J, Teuma L. Jeunes psychiatres : quand le secteur libéral dévisse. Inf Psychiatr. 2017 Nov 1;93(9):729-733.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 21/06/2018.


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