Se connecter
Rechercher

« Face aux métamorphoses, la main qui veille et le cœur endurant »

Auteurs : Fiat ÉDate 2013 Mars 25, Vol 1, Num 36-144, pp 41-55Revue : Gérontologie et société : cahiers de la Fondation nationale de gérontologieDOI : 10.3917/gs.144.0041
Entre éthique et vieillissement  : ce qui est conceptuellement en jeu
Résumé

La vieillesse s’inscrit dans la logique métamorphique de la vie. Tragiquement notre monde tend à en faire une maladie et à refuser certaines de ses métamorphoses radicales comme la démence. Pourtant, seul un vivant peut connaître la vieillesse et il serait anormal de ne pas vieillir. Brassens nous rappellera ici qu’il est possible d’aimer les signes du passage du temps sur un visage aimé et l’auteur réaffirmera que seule une éthique assumant les métamorphoses imposées par le temps et ne faisant pas de la pensée consciente l’essence de l’homme pourra appeler authentiquement à avoir pour les vieillards « la main qui veille et le cœur endurant ».

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : Cairn.info
Accès à l'article
Exporter
Citer cet article
Fiat É. « Face aux métamorphoses, la main qui veille et le cœur endurant ». Gerontol Soc. 2013 Mar 25;1(36-144):41-55.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 19/05/2024.


[Haut de page]

© CHU de Rouen. Toute utilisation partielle ou totale de ce document doit mentionner la source.