A un moment où, en Allemagne, de plus en plus d’intellectuels réfléchissent sur la vieillesse, il peut paraître étrange que peu d’écrivains et même de poètes, comme Durs Grünbein qui a puisé dans l’Antiquité matière à discussions, se soient préoccupés de tracer une analyse de cette évolution. Ingrid Bacher et Claudia Wolff ont, pour leur part, réussi à décrire la vieillesse, la rapidité de l’existence, la cruauté de cette «ligne droite» vers la mort, tout comme Durs Grünbein l’avait tenté. Ainsi certains intellectuels allemands en arrivent à cerner la réalité d’un phénomène pour le moins complexe.