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« Vieille fin de partie perdue » : Beckett et la vieillesse

Auteurs : Toudoire-Surlapierre FDate 2005 Septembre 01, Vol 3, Num 28-114, pp 31-46Revue : Gérontologie et société : cahiers de la Fondation nationale de gérontologieDOI : 10.3917/gs.114.0031
Résumé

Alors que le processus du vieillissement peut paraître anti-théâtral, il sous-tend Fin de partie (1958) et Oh les beaux jours (1961), pièces du début de la carrière de Beckett où s’impose la présence de personnages vieux ou prématurément vieillis. Qu’est-ce qui est en train d’être dévoilé en filigrane dans cette dramaturgie de la «dégradation humaine» qu’est la vieillesse chez Beckett et pourquoi avoir choisi un théâtre vieillissant pour montrer celle-ci? Que devient la scène théâtrale quand elle donne à voir des personnages dont la vieillesse est un vécu et une tension? N’est-elle pas une façon de s’interroger sur ce qui reste encore à faire au théâtre? Ne signifie-t-elle pas que l’achèvement littéraire que la vieillesse semble mimer comporte des limites et des potentialités?

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : Cairn.info
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Toudoire-Surlapierre F. « Vieille fin de partie perdue » : Beckett et la vieillesse. Gerontol Soc. 2005 Sep 01;3(28-114):31-46.
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Dernière date de mise à jour : 19/05/2024.


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