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Ne plus croire à sa neurotica

Auteurs : Brun DDate 2016 Avril 05, Vol 31, Num 1, pp 201-209Revue : Figures de la psychanalyseDOI : 10.3917/fp.031.0201
Mélanges
Résumé

L’auteur tient le renoncement de Freud à sa neurotica pour un tournant majeur dans l’établissement des fondements de la psychanalyse. La faute qui, auparavant, incombait à la perversion du père, à sa malfaisance sexuelle devient désormais celle du fils en proie à l’ambivalence de ses sentiments œdipiens. Le parcours de Freud est ici retracé depuis la lettre à Fliess de septembre 1897 jusqu’à celle qu’il adresse à Romain Rolland pour son soixante dixième anniversaire en 1936. Le transfert qui se perçoit dans l’échange de correspondances est crucial pour l’analyse et le statut de l’image du père ainsi que de la fonction paternelle.

Mot-clés auteurs
Freud; Fliess; neurotica; mort du Père; levée de refoulement; sexualité infantile; vie fantasmatique; découverte de l’inconscient; croyance/incroyance;

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : Cairn.info
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Brun D. Ne plus croire à sa neurotica. Figures de la psychanalyse. 2016 Avr 05;31(1):201-209.
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Dernière date de mise à jour : 19/05/2024.


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