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Vérités et mensonges d'enfants dans le cinéma et la littérature : les cas d'Antoine Doinel et d'André Gide

Auteurs : Brunel FDate 2012 Avril 01, Vol 4, Num 53, pp 68-78Revue : Enfances & psyDOI : 10.3917/ep.053.0068
Dossier  : Un enfant ment
Résumé

Le mensonge ne s’oppose pas nécessairement à la vérité : c’est d’autant plus le cas chez les enfants et les adolescents. Les exemples d’André Gide dans son autobiographie Si le grain ne meurt et du personnage d’Antoine Doinel dans le film Les quatre cents coups de François Truffaut le montrent. Dans les deux cas, les mensonges portent des vérités : Gide, à travers l’hésitation sur le caractère de simulation de sa « comédie », se demande si ce n’est pas lui-même qu’il trompe. Le mensonge d’Antoine Doinel s’affirme comme vérité d’une désidentification finale d’avec sa mère. Les mensonges d’Antoine Doinel et d’André Gide ont également ceci de commun qu’ils constituent des défis à des figures paternelles.

Mot-clés auteurs
mensonge; vérité; comédie; identification; écriture; cinéma; défi au père;

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 Source : Cairn.info
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Brunel F. Vérités et mensonges d'enfants dans le cinéma et la littérature : les cas d'Antoine Doinel et d'André Gide. Enfances & psy. 2012 Avr 01;4(53):68-78.
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Dernière date de mise à jour : 19/05/2024.


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