Se connecter
Rechercher

« La mort est un mort », Freud lecteur de Rudolph Kleinpaul

Auteurs : Cotti PDate 2004 Mars 01, Vol 1, Num no 69, pp 209-223Revue : Cliniques méditerranéennesDOI : 10.3917/cm.069.0209
Hors-Thème
Résumé

Lorsque qu’en 1897, Freud a lu le livre de Kleinpaul, Les vivants et les morts, il s’empare d’une formule – « la mort est un mort » – qui va l’aider à souligner que les représentations et les pensées de la mort recouvrent des souhaits sexuels. Après avoir traduit quelques passages de l’œuvre de Kleinpaul, nous montrerons que « la mort est un mort » resta un leitmotiv freudien jusqu’à ce que Freud fasse soudain volte-face en 1912, et affirme que le souhait sexuel pour une femme belle et mutique cache des pensées sur la mort elle-même.

Mot-clés auteurs
Animisme; êves; mort; vampire; souhait sexuel; angoisse de mort; sexe de femme;

Des descripteurs MeSH seront prochainement assignés à cet article.

 Source : Cairn.info
Accès à l'article
Exporter
Citer cet article
Cotti P. « La mort est un mort », Freud lecteur de Rudolph Kleinpaul. Cliniques méditerranéennes. 2004 Mar 01;1(no 69):209-223.
Courriel(Nous ne répondons pas aux questions de santé personnelles).
Dernière date de mise à jour : 19/05/2024.


[Haut de page]

© CHU de Rouen. Toute utilisation partielle ou totale de ce document doit mentionner la source.