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Médecine nucléaire en urologie pédiatrique. A propos d'une série de 1,200 scintigraphies rénales.

Auteurs : Bonnin F1, Le Stanc E, Lottmann H, Aigrain Y, Bok B
Affiliations : 1Hôpital Beaujon, Clichy.
Date 1998, Vol 32, Num 4, pp 186-90Revue : Annales d'urologieType de publication : article de périodique;
Résumé

Au cours des 4 dernières années, nous avons réalisé 1 200 examens chez l'enfant de moins de 6 ans: 57% de scintigraphies rénales dynamiques au MAG3 pour une uropathie de dépistage anténatal (principalement pour syndrome de la jonction pyélourétérale et mégauretère congénital), 36% de scintigraphies rénales statiques au DMSA pour recherche de séquelles parenchymateuses rénales le plus souvent après pyélonéphrite associée ou non à un reflux vésico-uérétéral, et 6 % de cystographie isotopique pour suivi d'un reflux vésico-urétéral. La faible irradiation de l'examen (environ 1 mSv) permet de proposer et même de favoriser l'utilisation de la scintigraphie rénale chez l'enfant. Les explorations isotopiques du rein et des voies urinaires de l'enfant sont désormais des examens complémentaires de première intention pour l'urologue pédiatre.

Mot-clés auteurs
Diagnostic; Dépistage; Enfant; Indication; Prénatal; Rein pathologie; Rein; Scintigraphie; Voie urinaire pathologie;
 Source : PASCAL/FRANCIS INIST
 Source : MEDLINE©/Pubmed© U.S National Library of Medicine
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Bonnin F, Le Stanc E, Lottmann H, Aigrain Y, Bok B. Médecine nucléaire en urologie pédiatrique. A propos d'une série de 1,200 scintigraphies rénales. Annales d'urologie. 1998;32(4):186-90.
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Dernière date de mise à jour : 23/08/2017.


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